LES ECHELLES DE LA MORT
Sur les pas des contrebandiers
La Franche Comté fut terre de combats, de mort et de contrebande. Après l'annexion par le roi de France et les taxes qui suivirent, les Franc comtois s'organisent. Les voisins en face ont tabac, sel, alcools moins chers. Ils ont aussi de la dentelle, des pièces d'horlogerie. Alors commence une contrebande. D'abord familiale et de subsistance, elle prend de l'ampleur.
Quel nom terrible ! Et pourtant, il n’y a pas mieux pour admirer les gorges du Doubs. Et pas de panique : elles sont désormais sans danger. De nos jours, les échelles en bois ont été remplacées par des échelles métalliques offrant un parcours de randonnée fort prisé.
On grimpait le long d’échelles fixées sur les falaises pour passer la frontière franco-suisse. Tabac, sel, sucre, dentelles, montres …. On ne comptait plus les marchandises diverses et variées qui transitaient, à dos d’hommes, par ces échelles.
On raconte qu’elles tiennent leur nom d’une triste affaire familiale. Il y a longtemps, deux voleurs auraient dérobé les vases sacrés de la cathédrale de Bâle. La belle-mère de l’un deux, arrêtée et torturée, apprit une fois relâchée où se cachait son gendre. Ce dernier lui donna rendez-vous aux pieds des échelles et tous deux se lancèrent dans l’ascension de la paroi pour passer en France avec leur butin. Mais la vieille femme perdit ses forces en cours de route, lâche prise et tomba dans l’abîme ! Mais ce n’est qu’une légende et le site est maintenant parfaitement aménagé et sécurisé. Aujourd’hui, les contrebandiers ont disparu mais leur parcours est devenu un bel itinéraire de balade insolite.
Le long de la paroi rocheuse verticale une via ferrata a même été aménagée. Passerelles, ponts de singe, marches, échelles jalonnent cet itinéraire sportif pour s’offrir des sensations fortes en toute sécurité.
On grimpait le long d’échelles fixées sur les falaises pour passer la frontière franco-suisse. Tabac, sel, sucre, dentelles, montres …. On ne comptait plus les marchandises diverses et variées qui transitaient, à dos d’hommes, par ces échelles.
On raconte qu’elles tiennent leur nom d’une triste affaire familiale. Il y a longtemps, deux voleurs auraient dérobé les vases sacrés de la cathédrale de Bâle. La belle-mère de l’un deux, arrêtée et torturée, apprit une fois relâchée où se cachait son gendre. Ce dernier lui donna rendez-vous aux pieds des échelles et tous deux se lancèrent dans l’ascension de la paroi pour passer en France avec leur butin. Mais la vieille femme perdit ses forces en cours de route, lâche prise et tomba dans l’abîme ! Mais ce n’est qu’une légende et le site est maintenant parfaitement aménagé et sécurisé. Aujourd’hui, les contrebandiers ont disparu mais leur parcours est devenu un bel itinéraire de balade insolite.
Le long de la paroi rocheuse verticale une via ferrata a même été aménagée. Passerelles, ponts de singe, marches, échelles jalonnent cet itinéraire sportif pour s’offrir des sensations fortes en toute sécurité.